L’étude explore l’impact des régimes d’exception sur les mécanismes de décentralisation au Burkina Faso, mettant en lumière leurs effets sur la gouvernance locale et les collectivités territoriales. Les régimes d’exception, caractérisés par une centralisation accrue du pouvoir, ont considérablement freiné le processus de décentralisation, limitant la participation citoyenne, l’autonomie locale, et l’allocation des ressources nécessaires. Les conséquences négatives de ces périodes se traduisent par une lente mise en œuvre des réformes et des défis structurels persistants.
Cependant, des stratégies résilientes ont été développées par certaines collectivités, notamment à travers des partenariats avec des acteurs externes.
L’étude souligne la nécessité de réformes institutionnelles, d’une décentralisation effective et d’une gouvernance transparente pour renforcer les mécanismes locaux et dynamiser le développement au Burkina Faso.
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